J'ai besoin de savoir où je vais...je déteste les incertitudes.. mais cela rend prolifique.
Parfois rouler sans trop savoir où l’on va est assez agréable. On peut y rencontrer toutes sortes de gens et les paysages sont jolis. Quant au virtuel .... cela ne dure jamais qu’un temps : frustration, mensonges, excuses bidons, rien ne vaut (à mon sens) le palpable, le vrai, l’authenticité de l’autre.
La réalité, le virtuel... La réalité virtuelle, la virtuelle réalité... Un sacré débat que chacun doit connaître et pour soi tranché... Du reste...pour emprunter les mots à d'autres... "Je ne sais pas où je vais, oh ça je l'ai jamais bien su Mais si jamais je le savais, je crois bien que je n'irai plus Aujourd'hui je t'aime, oui mais demain, on ne peut jamais être sûr de rien On va toujours seul sur la route, je continue coûte que coûte"
Juste vivre... sans penser aux pourquoi ni aux si ... ni chercher l'apaisement ailleurs qu' en soi même. Merci pour ce texte intime